L’ENFERMÉ.E • En cours de création

Dans le huis clos de son appartement, Axelle, une jeune étudiante dépressive, est forcée d’affronter ses pensées les plus sombres. 

Un confinement oppressant isole davantage la jeune femme, l’amenant à revisiter ses souvenirs, ses peurs et à se confronter à un mal-être profond. 

Face à elle-même, Axelle cherche à donner un sens à une existence qui lui en semble dénuée, accompagnée d’une figure étrange, une présence à la fois mystérieuse et bienveillante qui l’incite à questionner son rapport à la vie et la tentation qu’elle ressent pour la mort.

Par le biais du parcours d’Axelle, L’Enfermé.e propose une réflexion sur la question de la santé mentale des jeunes populations en ouvrant le dialogue sur l’isolement, la dépression, les pensées suicidaires et le défi d’évoluer dans un monde où espérer se fait de plus en plus difficile.

Durée: 1h15

Dès 12 ans.

Dossier de Production

MISE EN SCÈNE/ÉCRITURE

AUBRUN MOREAU Samuel

JEU

ANTONY Linda

BENTOURÉ Anna

ROBICHON Josselin

PRODUCTION

THILLOT Vic

RÉSUMÉ

Dans le huis clos de son appartement,

Axelle, une jeune étudiante plongée dans la dépression, 

est forcée d’affronter ses pensées les plus sombres. 

Un confinement oppressant isole davantage la jeune femme,

l’amenant à revisiter ses souvenirs, ses peurs et à se confronter à un mal-être profond. 

Face à elle-même, Axelle cherche à donner un sens à une existence qui lui en semble dénué.

accompagnée d’une figure étrange, une présence à la fois mystérieuse et bienveillante 

qui l’incite à questionner son rapport à la vie et la tentation qu’elle ressent pour la mort

NOTE D’INTENTION

Réchauffement climatique, multiplication des catastrophes naturelles, croissance de la précarité et des inégalités, tensions politiques permanentes et montée de l’extrémisme, tendance constante à la division, à l’individualisme et à la haine, guerres et massacres de populations…

Non ce n’est pas le scénario du prochain film de Roland Emmerich, mais bien la société dans laquelle les jeunes d’aujourd’hui doivent grandir, évoluer, se développer en tant qu’individus. Et, au milieu de cette peinture d’horreur, la pandémie de Covid-19 et les confinements qu’elle a causé sont venus ajouter la solitude, l’isolement, l’enfermement. Les conséquences ?

Une détérioration massive de la santé mentale, des symptômes de dépression de plus en plus présents et une augmentation considérable du nombre de jeunes ayant, ou ayant eu, des pensées suicidaires, ainsi que du nombre tentatives de suicide.

En 2022, un lycéen sur quatre déclare avoir déjà eu des pensées suicidaires et treize pourcents ont déjà fait une tentative de suicide. En 2021, environ un jeune adulte (18-24 ans) sur cinq estime avoir vécu un épisode dépressif au cours des douze derniers mois, ce qui est presque le double des chiffres observés en 2017. C’est précisément de ces jeunes que parle L’Enfermé.e. Par le biais du personnage d’Axelle, confiné dans son appartement dans un cadre qui rappelle la période 2020-2021, cette pièce propose d’entrer dans la vie intime, personnelle et psychologique d’une personne jeune, qui a toute la vie devant elle et qui envisage pourtant d’y mettre un terme.